Jeannick Le Lagadec Conseillère départementale du Val-de-Marne • Maire adjointe de Champigny-sur-Marne
  • Pour une agriculture urbaine
    Pour une agriculture urbaine

    J'ai répondu aux questions du Journal de l'insoumission, au sujet de la politique agricole du Conseil départemental du Val-de-Marne. J'ai en effet engagé son renouvellement, en faveur d'une agriculture urbaine et responsable.

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  • Non au CETA ce traité de libre-échange qui va à l'encontre de l'intérêt général humain
    Non au CETA ce traité de libre-échange qui va à l'encontre de l'intérêt général humain

    Négocié à l’insu des peuples, le CETA rentre provisoirement en vigueur ce jeudi 21 septembre 2017. Cet accord de libre échange qui régit les relations commerciales et réglementaires entre l’Union européenne et le Canada porte un nouveau coup à l’intérêt général humain.

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  • Aide à l’installation des médecins : la grande hypocrisie !
    Aide à l’installation des médecins : la grande hypocrisie !

    Combattre les inégalités sociales et territoriales d’accès à la santé. Tel est l’objectif affiché par la ministre Agnès Buzin qui a présenté, le 18 septembre dernier, la nouvelle stratégie nationale de santé pour les 5 ans à venir. Comment alors comprendre la méthode arrêtée par le gouvernement pour définir un nouveau zonage d’aide à l’installation des médecins ?

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Une politique d’Enseignement supérieur et de recherche dynamique et ambitieuse

Une politique d’Enseignement supérieur et de recherche dynamique et ambitieuse

La fin d’année 2015 a vu de nombreux projets du Conseil départemental en matière d’Enseignement supérieur et de Recherche (ESR) se réaliser. Fondée sur la base du schéma départemental de l’ESR élaboré en 2013 qui est notre véritable feuille de route (voir ici), notre action a vu se concrétiser et se confirmer les actions et les partenariats du Département avec les acteurs de l’ESR du territoire.

Le Prix de l’Université

Le Prix de l’Université (voir ici et ) récompense des travaux de recherche (doctorats ou mémoires) dans tous les domaines scientifiques menés par des étudiants inscrits dans un établissement val-de-marnais, dont la recherche porte sur le Val-de-Marne ou qui habitent dans notre département. De quelque manière que ce soit, ces étudiants contribuent au rayonnement du Val-de-Marne.

Les 232 relecteurs bénévoles, souvent chercheurs, issus de 7 pays (France, Belgique, Italie, Espagne, Pérou, Canada et États-Unis), ont lu et noté les 158 travaux que nous avons reçus, constitués de 118 thèses de doctorat et 40 mémoires de master.

Ce sont donc onze travaux qui ont été récompensés dans trois catégories : les seconds prix, les premiers prix et le prix spécial. 22 000 € sont ainsi répartis entre 11 lauréats : 2 500 € pour les premiers prix, 1 500 € pour les second prix et 1 000 € pour le prix spécial (voir les lauréats ici et ).

Parmi les travaux récompensés, on peut relever des sujets aussi divers et importants que la thèse de Thomas Gasser (prix spécial) de l’Université Pierre et Marie Curie en sciences du climat « Attribution régionalisée des causes anthropiques du changement climatique », la thèse de Lise Boussemart (premier prix) de l’Université Paris-Sud-Faculté de Médecine du Kremlin-Bicêtre) en cancérologie « Inhibiteurs de BRAF dans le traitement du cancer : Contribution à l’étude des mécanismes de résistance et des effets secondaires paradoxaux », ou encore la thèse de Marie Lanzaro (second prix) de l’Institut d’urbanisme de Paris - Université Paris-Est Créteil en urbanisme, aménagement de l’espace et politiques urbaines « Sortir de l’hébergement d’insertion vers un logement social en Ile-de-France. Des trajectoires de relogement, entre émancipation et contraintes ».

Le Soutien aux associations étudiantes

Ce dispositif soutient des associations étudiantes du Val-de-Marne qui portent des projets valorisant leur cursus et ayant un intérêt professionnel (voir ici). Une nouvelle fois, les projets soutenus sont de grande qualité. L’enveloppe de subventions était de 30 000 euros.

Les 18 projets soutenus par le Département sont portés par 13 associations étudiantes rattachées à des établissements d’enseignement supérieur du Val-de-Marne. Ils concernent cette année des associations de l’Université Paris Est Créteil, l’École Normale Supérieur de Cachan, l’École Nationale Vétérinaire d’Alfort ou encore l’Université Paris Sud (IUT de Cachan et la faculté de médecine du Kremlin-Bicêtre) et l’Institut d’Etude du Développement Economique (IEDES) de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.

A travers les projets soutenus, les étudiants ont par exemple construit un avion ULM et un nano-satellite pour le Centre national d’Etudes spatiales (CNES), effectué un stage d’observation de la faune sauvage, réalisé des bilans de santé dans des écoles indiennes, organisé un concours d’éloquence, un festival des arts ou encore des rencontres permettant la formation à la représentativité du corps professionnel des médecins.

Le renouvellement des subventions aux établissements d’enseignement supérieur et de recherche

L’UPEC et le CNRS, avec qui le Département partage des conventions et un partenariat fort ont été subventionnés dans le cadre du soutien à la recherche. Ces subventions sont annuelles et témoignent du soutien du Département à leur égard.
L’UPEC a sollicité le Département pour 9 demandes en accord avec les axes prioritaires de la convention. Le coût total de ces projets s’élève à 377 814 €. Le montant total des demandes s’élève à 200 000 € soit 53 % du montant total des dépenses du projet.

Par ailleurs, le Département subventionne l’UPEC à hauteur de 60 000 euros, pour 18 projets visant à développer la vie étudiante et l’organisation de colloques scientifiques. La subvention représente près de 10 % du montant total des dépenses des projets. Concernant la vie étudiante, la subvention finance en partie « Happy UPEC 2015 », événement qui accueille les nouveaux étudiants de manière festive et conviviale, l’événement « Envie de savoirs » qui informe les lycéens du Val-de-Marne sur les formations universitaires, la Summer school 2015, université d’été en anglais et en « français langue étrangère » et le concours « Faites de la Science 2015 » qui consiste à donner aux jeunes le goût des sciences par la réalisation de projets concrets.

Concernant le CNRS, le Conseil départemental subventionne l’institution de recherche dans le cadre d’une convention qui articuler les politiques du Département et du CNRS en coordonnant et ou en amplifiant leurs moyens, et à mettre en place de nouvelles actions selon 3 axes de collaboration principaux : la valorisation des résultats de la recherche, le soutien à la recherche et à l’innovation, la promotion et la diffusion de la culture scientifique et technique. Le CNRS a sollicité le Département pour le co-financement à hauteur de 8% de trois projets de diffusion de la recherche dont le coût total s’élève à 84 108 €. La subvention départementale s’élève donc à 6 800 euros.

Un partenariat stratégique avec la faculté de médecine Paris Sud au Kremlin-Bicêtre

Le Conseil départemental octroie une subvention de 1 million d’euros à l’université Paris-Sud pour l’extension de sa faculté de médecine située dans l’enceinte de l’hôpital du Kremlin-Bicêtre. Le projet d’extension (tranche 1 de l’opération) est de 19,6 millions d’euros. Le financement s’étale de 2011 à 2018. L’Etat apporte 6 millions d’euros, le Conseil régional d’Ile-de-France apporte 10 millions d’euros, l’Université Paris-Sud apporte 2,6 millions d’euros.

La faculté de médecine de Paris-Sud construite en 1980 dans l’enceinte de l’hôpital du Kremlin-Bicêtre est bien plus petite que les facultés historiques (Pitié-Salpêtrière, Saint-Antoine). Elle a néanmoins fortement développé son offre d’enseignement et son activité de recherche. Aujourd’hui, elle manque de surfaces d’enseignement et de recherche.
De plus, la faculté est isolée de sa maison-mère à Saclay et est de faible taille par rapport à ses concurrentes parisiennes. Son extension lui assurera un ancrage territorial dans le Val-de-Marne, déjà initié par son implication dans la dynamique « Cancer Campus ».

L’objectif de cette extension est donc de créer des surfaces de recherche et d’enseignement supplémentaires. La faculté pourra ainsi constituer un pôle de recherche où il accueillera de nouvelles équipes, regroupera des équipes dispersées, proposera des services et ressources mutualisés aux équipes de recherche. Avec des locaux d’enseignement adaptés, la faculté pourra également s’adapter aux évolutions de l’enseignement universitaire en médecine : modification de la pédagogie des études médicales (plus de travail en petits groupes), universitarisation des professions de santé et développement de l’offre de formation Permanente.

Les vidéos

Décryptage : le coup d'Etat social d'Emmanuel Macron

Trouvé sur le net

 

"Changement de contexte", note de blog de Jean-Luc Mélenchon, 1er octobre 2017